Quoi de plus absurde que de répondre à l’injonction de la nouveauté quand elle se formule au travers d’une langue morte ? C’est peut être pour conjurer la fin du langage philosophique que je tente de manifester sa pertinence au travers de thèmes et d’objets issus du quotidien.
Pages
About Me
- Unknown
Fourni par Blogger.
jeudi 31 mars 2011
Hier fut un triste jour...
Une journée merdique comme celle d'hier ne devrait pas exister. Pour commémorer ma glorieuse naissance, Zack Snyder n'a pas trouvé mieux à faire que sortir le pire film (et de loin) de toute sa filmographie. Je dois dire que d'une certaine manière, je m'attendais à cet échec. Tout ce qui avait été évité avec ses précédents films est ici lourd, pataud, hippopotamesque et éléphantesque. Comme si le film n'était pas déjà suffisamment long, le nombre hallucinant de ralentis semble dilater le temps dans une espèce de torture qui confine à la mauvaise blague. Finalement, le meilleur passage du film, c'est le moment ou le réalisateur réussit à massacrer deux tubes de Queen en même temps, une prouesse technique qui avait le mérite d'être souligné.
Et un petit gros roux a osé me parler à la sortie du film pour me dire que la musique était pas trop mal. Déformer Eurythmics et violer Where is my mind (entre autres), c'est finalement pas plus criminel que le reste du film.
J'ai mis la photo juste pour qu'il y ait des seins dans ce post.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 commentaires: