Quoi de plus absurde que de répondre à l’injonction de la nouveauté quand elle se formule au travers d’une langue morte ? C’est peut être pour conjurer la fin du langage philosophique que je tente de manifester sa pertinence au travers de thèmes et d’objets issus du quotidien.

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mardi 27 septembre 2011

Incerteza


Não sei quem sejas que importa
Já trago a esperança perdida [bis]
Se és a luz que me alumia
Se és graça que me dá vida [bis]

Adeus palavra tão triste
Que a minha alma faz chorar [bis]
Adeus dizem os que partem
Sem esperanças de voltar [bis]

1 commentaires:

Bernard a dit…

C'est beau ça fait penser à Cesaria Evora vaguement, y a une raison,