Quoi de plus absurde que de répondre à l’injonction de la nouveauté quand elle se formule au travers d’une langue morte ? C’est peut être pour conjurer la fin du langage philosophique que je tente de manifester sa pertinence au travers de thèmes et d’objets issus du quotidien.
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mardi 11 octobre 2011
Who watches the watchmen?
L'affaire "Copwatch" commence à faire parler d'elle en France.
Qu'est ce que Copwatch?
Un site internet qui se donne pour fin de moraliser la Police et qui se donne comme moyen la surveillance des faits délictueux commis par "les agents de l'ordre". Le problème? Il dénoncerait publiquement l'identité privé des agents trop zélés qui tabasserait n'importe qui pour des faits qui le légitiment plus ou moins.
Claude Guéant s'insurge de pratiques qui mettent en danger les policiers sans se soucier du risque couru par les prévenus couverts rappelons le par la présomption d'innocence et un cadre légal bien précis d'interpellation.
Nicolas Comte, secrétaire général du syndicat Unité SGP Police rappelle que les auteurs de ce site "se procurent les noms des policiers sur des procédures d'interpellation de leurs camarades."
Tout va bien donc dans un pays qui se soucie de préserver l'ordre chaotique qu'il autorise par sa seule force et toutes les procédures de surveillance auxquelles sont soumises les citoyens sont bien évidemment illicites pour surveiller les autorités.
Don't Worry : Big Brother is watching you, not the cops.
Don't Worry : Big Brother is watching you, not the cops.
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